PHILOSOPHIE

MYTHE DE LA CAVERNE de la République de PLATON
Nous sommes comme des prisonniers enchaînes dans une caverne, et qui ne voient du vrai monde que les ombres projetées par la lumière du dehors sur le mur de la paroi du fond. Le philosophe est celui qui se délie de ses liens, tourne la tête et sort de la caverne, découvrant le vrai monde. De même, le philosophe est celui qui comprend que le vrai monde n’est pas le monde sensible, celui qu’on voit dans la vie de tous les jours, mais que celui-ci n’est qu’un reflet imparfait et une ombre du vrai monde, le monde intelligible, celui des Idées, des En soi.
PLATON était vraiment un visionnaire puisque aujourd’hui et surtout depuis le confinement, nous sommes enchaînes devant nos écrans à écouter la propagande officielle et la pensée unique qui nous expliquent à quel point nous sommes libres et heureux et combien nous sommes solidaires et nous aimons les uns les autres.
Nous savons la misère  et la détresse qui règnent en maître dans ce monde, mais c’est tellement plus confortable de se laisser bercer par les voix des médias et de nous déculpabiliser en donnant un peu de notre temps ou de  notre argent à des associations et autres ONG, qui sont dirigées, on le sait tous, par cette mafia qui est le cancer de notre pauvre planète.

La justice sans la force est impuissante, la force sans la justice est tyrannique. Blaise PASCAL

Le mauvais exemple des grands est contagieux aux petits. Bernard Fontenelle 

“La nature est intelligente : il est là le miracle de la vie” – Pierre RABHI
L’homme moderne est parti d’un paradigme vaniteux. Il s’est laissé griser par ses inventions. Il s’est campé comme une espèce capable de se libérer de la nature, de Dieu, et de tout ce qui pourrait le contraindre. Il s’est dit qu’il n’avait plus besoin de cela. Il est entré dans le labyrinthe où nous nous trouvons toujours aujourd’hui. Quelle est l’alternative ? C’est une immense question ! À titre d’exemple, la France fait en sorte de pallier les exclusions, mais ça ne durera pas. Parce que, pour assurer ce magnifique équilibre, il faut créer des richesses, et nous ne les créons plus. Le même système qui fabrique des choses à vendre fabrique des gens qui ne peuvent pas acheter. Arrivera un moment où, logiquement, il y aura une rupture. La spiritualité n’est pas déconnectée de ces constats, elle devient plus nécessaire que jamais.
J’ai découvert ce qu’étaient en réalité les pratiques agricoles : nous passons notre temps à manipuler des poisons, contre les maladies, les champignons, les parasites, les insectes. Cela m’a donné la juste mesure de la détérioration que nous exerçons sur la biosphère à partir de prétextes agronomiques. J’étais venu là dans l’esprit de me rapprocher de la nature et non pas pour voir cette nature agressée. L’initiation a été extrêmement difficile et violente, mais utile pour mes choix de vie. Pierre RABHI

La différence entre l’époque de Goethe et Hegel et la nôtre n’est pas dans le nombre de gens superficiels, mais dans le fait qu’alors la superficialité n’était pas la seule tonalité régnante. Rudolf STEINER

Chez les Maoris, par exemple, tout être humain est considéré comme un composé de quatre éléments : un principe divin et éternel, connu sous le nom de toiora – un moi, qui disparaît lors de la mort – une ombre-fantôme, ou psuché, qui survit à la mort et enfin un corps. Rudolf STEINER

 L’État nous prescrit de mauvais objectifs d’enseignement, de mauvais objectifs finaux. Ces objectifs sont les plus mauvais qu’on puisse concevoir. Rudolf STEINER

Il faut d’abord faire des étoiles à partir du magma initial. Puis il faut que ces étoiles vivent leur vie et rejettent leur moisson d’atomes dans l’espace. Il faut ensuite que ces atomes se combinent en molécules et en poussières. Que ces grains de poussière s’accumulent en planètes rocheuses …

Finalement, il faut assurer le cours de l’évolution chimique et biologique de la planète. Nous connaissons plus ou moins bien la durée de chacune de ces opérations. En faisant la somme, on arrive à un minimum de plusieurs milliards d’années.

Faut-il s’étonner que l’univers ait déjà quatorze milliards d’années ? Il ne lui en faut pas moins pour engendrer un être capable de conscience … Et maintenant, nous, les humains, connaisseurs de notre passé et devenus ces êtres capables de conscience : qu’allons-nous faire de notre futur ?  Il commence en 2020 ! Hubert REEVES

Et si l’univers n’était qu’un immense cerveau qui est la CONCIENCE et qui à partir d’éléments simples s’est complexifié par des combinaisons de plus en plus sophistiqué jusqu’à la vie puis l’humain qui est un univers miniature. 

Pour imager le propos on pourrait dire que l’univers a d’abord créé des lettres , B – L – E – U, ces lettres ont créé des mots, en l’occurrence BLEU, et ensuite ces mots ont crée des phrases et toutes ces phrases ont fini par créer des livres et même des encyclopédies.