Et comme disait RAMSES 2 : “Que cela soit écrit et accompli”
Tous les paragraphes se terminant par le symbole © ont une explication ou un commentaire en bas de la page.
- Dire qu’un militant de POVBETE est obligatoirement un pacifiste et que quiconque cassera ne serait-ce qu’un verre ne pourra prétendre le faire au nom de notre parti.
- Effacer définitivement les mots “Faste”, “Misère” et “Profit” de notre vocabulaire
- Remplacer la notion d'”Exploitation” par celle de “Gestion”
- Redéfinir le rôle de l’Etat qui doit être la représentation de tous ses citoyens et dont les représentants ne sont que gestionnaires et en aucun cas propriétaires des biens collectifs.
- Ne plus donner la gestion de nos institutions à des élus mais un système de gestion qui étudiera pour chaque projet le besoin, la faisabilité et l’éthique. ©
- Redéfinir le rôle de l’impôt qui doit servir en totalité au service du collectif duquel il est issu. ©
- Dire illégal tous les accords et lois passées depuis 1969 date à laquelle la mafia financière c’est installée au gouvernement en France et utilise les institutions républicaines pour assoir son pouvoir.©
- Etatiser tout ce qui a été fait part le collectif (télécom, SNCF, EDF, GDF, banques, autoroutes, …..) et ce sans indemnisations aucune au vu de l’article précédent.
- Reprise de la gestion de nos finances en étatisant les banques. Arrêt immédiat de toute banque d’investissement pour n’avoir plus que des banques de fonctionnement qui ne pourront pas générer d’intérêt d’aucune sorte.
- Redéfinir le rôle de l’argent qui est un outil et n’appartient pas au domaine du vivant. Il ne peut donc ni travailler ni se reproduire par le biais de l’intérêt sur le prêt, comme c’est le cas actuellement. ©
- Revoir les notions de droits, ne plus perdre notre temps et notre énergie à savoir qui a le droit et qui ne l’a pas. ©
- Rétablir concrètement les droits de l’homme qui sont réduits aujourd’hui aux droits de la carte. ©
- Revoir notre système judiciaire qui doit passer de la répression à l’éducation.
- Réfléchir en termes de gestion de temps et d’énergies et non plus en ceux d’argent et d’économie de marché qui sont des valeurs virtuelles. ©
- Mettre en place le revenu minimum universel d’un montant de 1.500€ en échange d’un travail de 20H/semaine.
- Mettre en place le revenu maximum universel d’un montant de 10.000 € en échange d’un travail de 20H/semaine.
- Mettre en place l’avoir maximum universel d’un humain ou d’un groupe d’humain qui sera plafonné à 10 millions d’euros. Nos systèmes informatiques sont suffisamment performants pour la faisabilité de cette mesure.
- Faire l’inventaire de nos avoirs afin de recycler au maximum pour arrêter cette production à outrance qui alimente les économies de marché actuelles.
- Etudier au plus près nos besoins et nos capacités de recyclage afin de diminuer autant que faire se peut l’import-export. ©
- Redéfinir le sens du mot « travail ». Celui des fonctionnaires qui doivent réhabiliter les « services publics » et celui issu des initiatives privées qui seront allégées au maximum de fiscalité pour favoriser l’emploi. ©
- Légaliser toutes les drogues afin de libérer l’énergie perdue dans la répression qui n’a que l’effet d’augmenter le trafic. ©
- Reconvertir nos industries de production vers d’autres directions que la seule production d’armes et l’arrêt immédiat de l’industrie de l’armement. Devoir notre richesse à l’industrie de l’armement c’est vendre notre âme au diable, ce que nos gouvernants ont fait depuis longtemps, il est temps que ça cesse.
- Investir massivement et sans compter dans les énergies renouvelables et interrompre tout accord et autres subventions aux grands groupes des industries fossiles ou nucléaires.
- Reprise de la gestion l’industrie pharmaceutique et arrêt immédiat de l’expérimentation animale. ©
- Reprise de la gestion de nos abattoirs que nos dirigeants ont abandonnés aux entreprises privées qui sous prétexte de rentabilité réduisent au maximum le personnel ce qui ajoute à l’horreur que nous faisons vivre aux animaux qui nous nourrissent.
- Se réapproprier notre sol en étudiant très attentivement le DLU (plan d’occupation des sols) en détruisant les infrastructures bétonnées qui ne se justifient pas face à un besoin de sols cultivables. ©
- Développer au maximum les transports collectifs (trains, métros, trams, navettes, …) en remplaçant le plus rapidement possible les véhicules équipés de moteur à explosion par des véhicules électriques.
EXPLICATIONS ET COMMENTAIRES
© 5 – Ne plus donner la gestion de nos institutions à des élus : En effet, les politiques qui nous gèrent n’ont aucune compétence concrète si ce n’est d’avoir la flagornerie nécessaire pour récupérer des voix. Après l’élection du président de la république, tout le gouvernement sera dissous et se mettra en place un système de triumvirat composé d’1/3 de professionnels, 1/3 de citoyens lambda et 1/3 de « penseurs » (religieux, philosophes, …) représentant à un haut niveau le besoin, la faisabilité et la portée spirituelle de l’action. Cette façon de fonctionner sera valable de l’international au quartier.
© – 6 Redéfinir le rôle de l’impôt : aujourd’hui, sous la gestion de la mafia financière au pouvoir, l’impôt sert à entretenir des oisifs à mener une vie fastueuse et indécente au nom de la dette, entité virtuelle inventée par ladite mafia pour asservir l’humanité.
© 7 – Dire illégal tous les accords et lois passées depuis 1969 : en utilisant à tort et à travers les notions de « ordre républicain » et « état de droit », le gouvernement actuel, basé sur la répression, se sert de ceux qui avaient pour vocation d’être « gardiens de la paix » et qui sont devenus, souvent à l’insu de leur plein gré « forces de l’ordre ». Il est évident que des lois essentielles telles que l’abolition de la peine de mort, la légalisation de l’avortement et le mariage gay seront à conserver.
© 10 – Redéfinir le rôle de l’argent : qui dit intérêt sur un prêt financier dit rentier et donc oisiveté. L’argent est un outil qui ni ne pousse ni ne se reproduit et l’intérêt que nous lui faisons générer est une valeur virtuelle qui est totalement incompatible avec les lois de la Vie.
©11 – Revoir les notions de droits : dans la mesure où nous sommes vivants nous avons non seulement le droit de vivre mais de profiter de tout ce que les générations précédentes nous ont permis de devenir. Il faut donc recenser toutes les personnes vivant sur notre sol et donner un SMIG à tous les adultes en échange de 4H de travail par jour, tous les enfants étant bien sur scolarisés car la place d’un enfant est à l’école. Cela représente l’avantage de lutter en douceur contre la prostitution et l’esclavage des travailleurs sans papiers car si tous ceux qui sont exploités car ils ne sont pas en règle et ne peuvent donc pas faire valoir leurs droits de peur d’être expulsés sont assurés d’être traités avec dignité s’ils se font connaitre, on éradiquera les réseaux de traite d’humains. Les femmes qui préféreront continuer à se prostituer plutôt que de devoir travailler 20H/semaine pour un SMIG le fera par choix et cela deviendra son problème.
© 12 – Rétablir concrètement les Droits de l’Homme qui sont devenus les « droits de la carte » (carte d’identité, de séjour, de travail, CB, Master Card, …) fonction de la carte que vous possédez, vos droits ne seront pas les mêmes et si vous n’avez aucune de ces cartes, alors vous perdez votre qualité d’Homme. On pourra alors, puisque que vous serez un « sans papier », vous exploiter et vous utiliser dans tous les réseaux que la bassesse humaine à mis en place (prostitution, pédophilie, vente d’organes, …).
© 14 – Réfléchir en termes de gestion de temps et d’énergies : On dit que c’est l’argent qui construit les maisons, dans le concret quel que soit la hauteur de billets de banque que l’on laissera sur le terrain ils ne feront rien car ce sont les bras des hommes qui construisent les maisons. Malheureusement, aujourd’hui les hommes se croient libres mais sont esclaves de leur besoin d’argent pour subsister dans nos sociétés capitalistes c’est ce qui permet à certains d’être convaincu que l’argent à tous les pouvoirs.
© 19 – Etudier au plus près nos besoins et nos capacités de recyclage : Moins on déménagera le monde et plus la planète se portera bien et ne pas négliger le coût du transport dans les échanges commerciaux mondiaux comme c’est le cas aujourd’hui (un cheval venu de Roumanie coûte moins cher qu’un cheval acheté à l’éleveur de proximité).
© 20 – Redéfinir le sens du mot « travail : l’oisiveté est mère de tous les vices et il est insupportable de voir tous ces gens qui ne travaillent pas et d’entendre dire par nos dirigeants qu’il n’y a pas de travail. Les jeunes des cités sont en majorité oisifs, recevant les minimas sociaux qui sont une façon de recevoir une charité insultante. Il faut multiplier les postes dans les écoles, les hôpitaux, les maisons de retraite et surtout se réapproprier les espaces verts pour les transformer en jardins partagés. Les divers employés des CAF et autres CPAM se recycleront dans la gestion des ressources humaines et des besoins. Dans chaque quartier des comités de gestion basés sur le triumvirat gouvernemental afin d’aménager la vie des habitants en harmonie avec leur environnement.
© 21 – Légaliser toutes les drogues : nos commissariats et autres gendarmeries doivent retrouver leur vocation de « gardien de la paix », au lieu d’être calfeutrés dans leurs locaux et de n’en sortir que équipés comme des guerriers, ils deviendront ce qu’ils doivent être à savoir des éducateurs, sportifs ou manuels selon leurs goûts, vivant au milieu des quartiers pour veiller à la sécurité de tous.
© 24 – Reprise de la gestion l’industrie pharmaceutique : la nature nous a toujours livré ses secrets avec la plus grande des largesses si nous l’observons, elle n’a jamais rien donné sous la torture. Le peu d’avancé que nous devons à l’expérimentation animale ne justifie pas les atrocités qui se passent dans les soi-disant labos pharmaceutiques.
© 26 – Se réapproprier notre sol : il faut faciliter les entreprises individuelle de retour à la terre et multiplier la mutualisation de la logistique et des ressources à travers des coopératives gérées elles aussi par des comités mi citoyens mi professionnels.